Public Enemy #1 { Alec & Chanel }

Chanel était face a se tableau, et avait décider d’y aller. Comment ça se fait qu’elle ignorait qu’il y avait une exposition de James Nachtwey, le super photographe. Celui qui a fait que des photos de guerre. Chanel connaît sa biographie par cœur, et il est actuellement en ville. Cet homme est un grand homme. Il a passé plus d’une vingtaine d’années a travailler pour les malheureux, les abandonnés de la terre. Il a même reçu des palms pour son talent. Elle était bouche bée face a cette annonce, elle regarda la date, et vit que c’était aujourd’hui. Non elle ne pouvait pas rater cette exposition. Il en était hors de question. La jeune fille repensat a la dernière fois qu’elle avait touché un appareil a photo. Des flashs lui venait en tête. Elle venait de prendre sa mère en photo, par surprise, et elle s’était enfermer. Elle regarder d’utre photos, jusqu’à ces coups de feu. Elle secoua vite la tête, ne voulant pas se rappeler de ces souvenirs. Chanel se précipita vers Madame Collins qui venait de sortir, et lui donna le papier.

CHANEL: « Est ce que je peux venir? Je viens juste de voir qu’il y a cette exposition. Je suis une fan de ce photographe s’il vous plait. »

La prof était d’un sévère monstre, pour elle il fallait bien sur l’autorisation des parents, le dire une semaine a l’avance, et se comportait comme un étudiant studieux, et très sérieux Chanel était une bonne élève, d’ailleurs elle était même très douée, elle ne révisé pas beaucoup mais s’en sortait largement. Même si elle ne savait pas de ce qu’elle voulait faire plus tard, elle travailler pour avoir le plus de possibilités. Elle ne cesser de marcher a coté de madame Collins, mais celle-ci avait déjà décider du sort de la jeune fille, elle n’irait pas. Après avoir débatue avec elle pendant un long moment la prof commencer a se poser des questions après tout il lui restait de la place dans le bus. Il n’y avait pas beaucoup d’élé qui ont voulu venir. L’instit regarda Chanel qui lui donner tous les arguments pour pouvoir partir, et il était bien sur clair qu’elle en connaissait bien plus sur ce photographe que tout les autres réunis.

CHANEL: « Vous devez me laisser y aller, je connais absolument tout de ce photographe. C’est un modèle pour moi. Ces photos me transportent, son appareil photo c’est sa vie, tout comme moi. Je ne veux pas photographier des mannequins et ce genre de connerie, je veux simplement photographier la vraie vie. Les choses qui font qu’on a envie de réagir. S’il vous plait laisser moi y aller. »

L’exposition se déroulée un peut en dehors de San Francisco. C’était un endroit tout a fait banal. Mais les photos, elles parlaient d’elles même. Toute cette atrocité, tout ça lui montrer tout simplement la vrai vie. Il y avait ce truc, cet homme montrait simplement la réalité. Il y avait cette photo, ou Chanel resta béa dessus. Cet enfant qui lance un cailloux, face a un char de l’armée israélienne Que doit on penser de ça? Et ce petit qu’elle avait vu, qui avait la peau sur les os, et encore. Ce gros ventre qui montre le signe de mal nutrition. Il y a des moments ou on voudrait tout abandonner et faire quelque chose pour réparer ça, même si une personne dans le monde n’y arriverais pas seule. Mais une personne peut faire quand même avancer les choses. Elle avait vu au loin Alec, elle n’en croyait pas ces yeux qu’il était venu voir cette exposition. Après tout elle l’avait bien vu dans le bus. Il ne faisait que parler avec des gens qu’elle ne connaissait pas. Elle, elle s’était assise dans le fond, et ne cesser de regarder le paysage. Il est bizarre pour Chanel de concevoir qu’Alec a une âme. En fait non, il n’en a pas. Il a du juste venir pour prouver a cette prof qu’il pouvait faire quelque chose de ces journées. Chanel avait passer sa journée a admirer toute ces photos qui la faisait réfléchir, sur elle, sur son avenir, sur tout ce qui s’est passé dans sa vie.

Elle ne pensait pas que cette journée ce serait passé comme ça quand elle s’est levé. Mais c’est une autre fille qui va dormir ce soir. Rien qu’en se rappelant les photos, elle en avait la nausée. Comment peut on rester la, dans notre bulle tandis que d’autre gens meurt. Chanel était montée dans le bus, elle était repartie a la même place Qu’a l’allée. Elle ne cesser de regarder le paysage qui s’offrait à elle, elle ne cesser de se dire qu’il fallait changer de vie maintenant. Ce n’est pas comme ça que les personnes avances. Elle vit que le bus s’était arrêter. Le chauffeur sortit et commença a faire le plein d’essence. Madame Collins regarda les élèves présents , et leur fit par d’une annonce.

« Sortez, prenait l’air 5min, le bus repars dans 6 minutes, je ne tolérerait aucun retard. »

Chanel vit que quasiment tout le monde restait dans le bus, aucun ne sortait, elle en était incapable. Elle se leva, et partit vers la sortie. Elle entra dans la petite boutique, elle avait une de ces soif, elle acheta une petite bouteille de coca, pour se rafraîchir. Elle allait sortir mais quelque chose attira son attention.

Dans le coin magasine, un magasine l’intrigua plus qu’autre chose. Il y avait une photo de sa mére. Ca faisait en l’espace d’une semaine qu’elle voyait deux magasines différents avec en couverture sa mére. Elle se dit qu’heureusement personne ne sait que c’est elle sa mére. Pas même June, ni Matthew qui avait était son petit ami pendant un an. La jeune fille prit le magasine, il était dit que comme les parents de Chanel ne cesser de cacher leur fille, certains la chercher, sans succès. C’est la qu’elle se dit que c’est mieux ainsi. Sur l’article ils disaient que l’enfant du célèbre mannequin devait résister sur la cote ouest des États-Unis. Elle n’en revenait pas que certaines personnes se soucier encore de ça. Elle enleva le bouchon de la bouteille et bu une gorgée. Elle paya le magasine, qu’elle prit, et sortit. Lorsqu’elle sortit elle a eu la surprise de voir le bus qui était déjà au bout de la rue. Elle voulu téléphoner a madame Collins qui avait laisser son numéro a tout le monde en début de journée, mais celle-ci était sur répondeur.

CHANEL: « Punaise je fais comment moi. »