Camron Anderson [U.C]

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Anderson, Camron.
20 ans, Delta

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« Gentil- Charismatique - Gueule d‘ange- Admiratif
Tête en l‘air- Franc parler- Jaloux- Insistant. »

note du narrateur :

Identité générale, et ce qui s'y rattache.

date de naissance :

Année à Berkeley :

niveau social :

famille proche :

Adam Anderson, son père. Il est brouillé avec lui depuis que ce dernier a divorcé de sa mère, lorsqu'il avait 16 ans. Il ne lui a pas adressé la parole depuis 4 ans, il sait juste qu'il vit à New York.

June Élie Anderson, sa mère. Décédée il y a deux ans.

prologue :

Du physique à la personne.

physique :

Camron n'est pas de ceux qui sont extrêmement préoccupé par leur physique. Ayant toujours aimé se faire discret, il ne cherche pas à plaire à tout prix, en faisant de la muscu' à outrance, ou quoique ce soit pour améliorer son physique. En même temps, il n'a pas un physique ingrat, loin de là. Plutôt grand, Camron fait partit de ces gars, qui ne ressemble pas à des catcheurs, mais qui sont bien muscler ou il faut et qui sont assez élancé. Il tient de son père ses cheveux blond, châtain, qui n'ont rien d'extraordinaire, et qui reste toujours en bataille, ce qui peut lui donner une apparence je m'en foutiste, et négligé, qui lui plait bien. De sa mère, il a hérité ses yeux bleus, qui lui procure sans aucun doute un certain charme. Il a un sourire qui lui fait une gueule d'ange, et qui aura fait tombé plusieurs fille, sans qu'il le cherche vraiment, le jeune homme n'est pas vraiment du genre à draguer toutes les filles qui passe par là. Camron est loin d'être moche, il le sait, mais il n'en joue pas du tout, bien au contraire. Blond, au yeux bleu, et à la peau assez blanche, Camron peut paraître assez fragile, surtout qu'il est assez solitaire, mais ne vous fiez pas tant au apparence, il sait se qu'il fait, il sait se défendre, et n'est pas aussi fragile qu'il en à l'air.

Il est clair qu'il ne passe pas trois heures chaque matin pour s'habiller, ou ne serait-ce trouver comment s'habiller, pas difficile, il prend souvent ce qui lui passe sous la main, du moment que ça va avec son humeur du moment. Camron à toujours admirer ceux qui avait un je ne sais quoi dans leur style qui faisait qu'on les remarquait, mais lui n'est pas comme cela, et il ne le sait que trop bien. Alors tant pis pour l'originalité, et contentons nous d'un jean, d'un tee-shirt, du polo ou d'une chemise. Camron n'est pas quelqu'un de frileux, et se contente souvent d'une veste par dessus sont haut, enfin sauf en cas de froid extrême.

Des tics, il en a un certain nombre. Vous le trouverez rarement sans un appareil photo sur lui, et le jeune homme à la manie de prendre tout ce qui lui plait en photo, que ce soit une personne, un paysage, un objet, ou même juste un détail qui l'a marqué. Il a toujours besoin d'avoir quelque chose dans les mains pour s'occuper, un crayon, un bout de feuille de papier, ou même son appareil, et lorsqu'il à rien, il se contente de mettre les mains dans les poches et de jouer avec le tissus intérieur de la poche.

S'il y a quelque chose qui le caractérise bien, c'est ça démarche nonchalante. Il n'est pas différentiable des autres par son style vestimentaire, encore moins par son physique, mais sa démarche est assez reconnaissable pour n'importe qu'elle personne qui le connait un minimum. Cette démarche, il la doit à son coté tête en l'air, qui lui donne ce je ne sais quoi de décalé de la réalité qui lui plait tant.

caractère :

Solitaire. C'est sans aucun doute le premier mot qui nous vient à l'esprit quand on parle de Camron. On n'est pas habitué à le voir entouré de millier de personne. Ses amis proches se comptent facilement sur les doigts de la main, et il ne s'en plait pas outre mesure. Habitué depuis sa toute petite enfance à être rejeté par ses camarades à cause de sa fragilité physique, il a garder l'habitude de vivre seul. Ce n'est pas pour autant qu'on peut le considéré comme associable, il serait d'ailleurs vexé si vous veniez à penser ça de lui. Cette fragilité physique qui le poursuit depuis ça petite enfance, l'a obligé à s'affirmer autrement que par la force, ce qui n'est pas plus mal, et ce qui fait de lui une personne assez charismatique.

Rêveur. C'est inévitablement le second mot qui vous vient à l'esprit. Depuis son plus jeune age, il aime contempler le monde qui l'entoure, s'inventer des histoires abracadabrantes. Sa tête regorge d'image, de rêves plus fou les uns que les autres, et qu'il ne réalisera sans doute jamais. Il est aussi doté d'une excellente capacité d'analyse, et réussit souvent assez rapidement à cerner les gens. Camron est très admiratif, il est assez facile à étonné, mais ne le pensez pas qu'il est naïf pour autant, si vous essayer de le berner en le forçant vous admirez, il s'en rendra compte, il ne faut pas trop rêver non plus. Son coté rêveur le rend aussi très tête en l'air. Si vous lui demandez quelque chose, vous avez intérêt à lui rappeler, sinon vous être sur de ne pas l'avoir, non pas qu'il s'en fiche totalement, juste qu'il est trop souvent dans les nuages pour y penser, et ce n'est pas fautes de volonté. Camron, est un homme plein de bonne volonté, et très insistant, il ne baisse jamais les bras, ce qui peut être un qualité, mais parfois, il devient peut être un peu trop insistant, et peut parfois être un peu lourd.

Gentil. C'est un mot qui nous vient à l'esprit quand on le connait un peu mieux. Doté d'un cœur en or, il est prêt à tout pour ses amis. Généreux et parfois même un peu trop, il offre son aide à tout ceux qui en on besoin dans la mesure du possible. IL a même tendance à passer de temps pour la bonne poire de service, sauf que lorsque ça explose et qu'il en a marre, ne vaut mieux pas se trouver dans les parages. Camron peut être considéré comme un sang froid, il en faut beaucoup pour l'énerver, et pour le faire réagir de manière assez forte, il n'est pas tellement pour les effusions de passion surtout en public, mais lorsque ça éclate, ça éclate, quelques soit le sentiment qui explose, ils sont très intense.

Charismatique. C'est sans doute son trait de caractère qu'il a le plus travailler, pour combler son manque de force. Il est évident que lorsqu'il commence à parler il force le respect des autres, et on l'écoute toujours. A cela s'ajoute sa capacité inné à mentir, et à mener les gens en bateau quand l'envie lui prend. Arrêté de croire qu'il est un saint, comme tout le monde le sait sa gueule d'ange et bien trompeuse, et sous un être en apparence angélique, et presque froid, se cache un démon flamboyant prêt à sortir quand ça lui chante. Un conseil, j'espère seulement pour vous que vous ne serez pas la cible de son coté caché...

Jaloux, voici un autre de ses défaut. Se connaissant des capacités naturelle pour le mensonge, il se dit souvent que tout le monde peut en faire autant, et lorsqu'il pense qu'on le trompe ou quoique ce soit pouvant réveiller sa jalousie, il n'en démord pas. Jusqu'à ce qu'il se rend compte qu'il c'est trompé, en espérant que ça ne soit pas trop tard, du moins. S'il est assez susceptible au remarques venant de ses amis, il est totalement indifférent à celle des autres, et dans tous les cas n'est pas réellement rancunier.

ce qu'il/elle aime :

S'il y a quelque chose que Camron aime par dessus tout, c'est sans aucun doute la photographie, sa passion depuis si longtemps. Si vous lui demander de vous dire un jour, qui a été le plus beau jour de sa vie jusqu'à présent, il répondra sans hésiter, l'anniversaire de ses 12 ans, ou il reçu son premier appareil photo. Rêveur dans l'âme, et contemplateur avertit, il a tout de suite adorer regarder le monde sous un autre angle, à travers un objectif. Certes il n'est encore qu'un novice dans le domaine, mais c'est réellement un domaine qui le rend heureux, et dans lequel il veut à tout prix se perfectionner. Sinon, il se contente des bonheurs simple, tel qu'une bonne sortie entre amis, une soirée sympathique, un fou rire ou quoique ce soit qui rende heureux. S'il aime la solitude, et le calme, il ne refuse pas la présence des gens, enfin tout dépend de qui sait bien entendu. Il aime rester seul chez lui, à écouter de la musique, et à réfléchir, à penser, à rêver.

ce qu'il/elle n'aime pas :

S'il y a une chose que Camron déteste par dessus tout, c'est bien la violence. Non pas qu'il soit un pacifiste acharné loin de là. Mais sa fragilité l'ayant toujours empêché de se défendre contre ceux qui utilisait la violence, il a du apprendre à se défendre sans celle si, et à finit par y arriver, alors pourquoi les autres n'en font pas autant ? Certes maintenant, il est moins fragile qu'autrefois, mais il réfléchit toujours à deux fois avant de se servir de ses poings, même si en cas de force majeur, il ne restera clairement pas planté là sans rien faire... Il déteste tout ce qui se rapporte aux mathématiques, il a presque toujours été en dessous de la moyenne en cette matière, et n'a non seulement jamais compris l'utilité des mathématiques, mais n'a jamais supporté enfermé son esprit dans la logique mathématiques, enfin disons que c'est ça bête noir... Camron pourrait aussi dire qu'il déteste tous les vices, mais là je vous autoriserait à ne pas le croire, s'il à une bouille d'ange, s'en ai pas un pour autant loin de là. Il est naturellement doué pour le mensonge, et use de ses dons naturelles, mais le beau blond déteste l'infidélité, n'ayant jamais été un tombeur, il est loin d'être un coureur de jupon, et lorsqu'il sort avec une fille, il ne la trompe pas, alors si elle pouvait en faire autant, ça serait idéal tout de même. Étant quelqu'un de franc, il déteste les hypocrites, et surtout ceux qui sont indifférent, les gens qui ignorent d'autres personnes insupporte, si t'a un problème avec quelqu'un va lui dire en face au lieu de l'ignorer, c'est moins cruel.

Bienvenue a toi Cam Wink

et bonne chance pour la suite de ta fiche.

Bievnvenue !
Hâte de voir la suite de ta fiche !!!

Bienvenue

Merci à vous tous Camron Anderson [U.C] 46284

Welcome'

Développement :

Chapter One : "Il y a des jours, on aurait mieux fait de rester coucher..."

4 Aout 1989

Tout était parfait, June et Adam profitaient pleinement de leur voyage en Allemagne, et de leur séjour à Berlin. June était belle, sa crinière brune flottant sous le vent Berlinois, un sourire éclatant sublimait ses lèvres. Adam regardait sa femme avec une admiration sans limite, voilà un an qu'il était marié, trois ans qu'ils se fréquentaient, trois ans qu'il filait le parfait amour, et sept mois que grandissait un charmant bébé dans le ventre de sa sublime épouse. Le regard d'Adam descendit d'ailleurs vers le ventre de sa femme, déjà bien rond et qui était recouvert d'une blouse blanche. Soudain, il vit sa femme se tordre de douleur, des contractions bien trop violente à son goût, tout ceci ne pouvait être normal. De son coté June avait compris, et commençait à paniqué, c'était trop tôt, il ne pouvait pas venir maintenant, il ne devait pas venir maintenant. Dans un souffle, serrant de toute ses forces le poignet de son maris elle lui demanda :

" Emmène moi à l'hôpital..."

Ne pas paniqué, c'est ce qu'il avait essayé de faire, mais c'était plus facile à dire qu'a faire, surtout quand on voit sa femme se tordre de douleur, parce que son fils à décidé de sortir plus tôt que prévue, et que ça pourrait bien lui couter la vie.

Des médecins partout, qui cour dans tout les sens, qui semble s'affoler, ou tenir la situation en main, c'est comme vous voulez. Adam était dans le couloir de l'hôpital, attendant de voir sa femme et son fils. Il le savait tout ne se passait pas comme prévu, rien n'était prévu, il n'aurait pas du arriver aujourd'hui, il ne devait venir que dans trois mois. Il y avait des complications, il le savait, il le sentait. Ce n'est que six heures plus tard, lorsque les médecins cessèrent enfin de s'agiter, et que le médecin charger de l'accouchement sortit de la chambre, qu'il su réellement ce qui c'était passer. L'enfant c'était retourné trop tôt, trop vite, il c'était enroulé dans les méandre du cordon ombilical et avait voulu sortir. A l'intérieur du ventre tout allait bien, le cordon n'était pas autour se son cou, ou du moins, il ne l'étranglait pas. Mais lorsque June à commencer à pousser, et que le garçon à commencer à sortir, il à commencer à s'étrangler. Seulement il était trop tard, il avait sortit la tête, et ne pouvait pas sortir le reste du corps sans obligatoirement mourir étrangler, on ne pouvait pas non plus le faire sortir par césarienne, puisqu'il avait déjà fait passer la tête. Il avait fallu faire tout de même une césarienne pour couper le cordon, et pousser le plus rapidement le bébé hors du corps, puisqu'il n'était plus alimenter par le cordon. On a cru qu'il ne crierait pas, qu'il ne vivrait pas, qu'il était mort né, et par un miracle il avait finit par pousser un petit cris, bien faible, mais un cris. Il était envie, il était très fragile, il s'appellerait Camron, et ce jour là avait bien faillit être le pire de toute la vie des Anderson.

Ses premières années sur terre n'avait pas été simple. A 3 ans, il avait manqué d'être emporté par une grippe, et deux ans plus tard un grippe le clouait sur un lit d'hôpital pour deux mois. Il avançait doucement dans la vie, sous le regard attentif de ses parents qui le couvaient surement plus qu'il ne l'aurait désirer. Malgré sa flagrante fragilité qui firent de lui un souffre douleur pendant ses deux premières années de primaire, il devint très tôt assez autonome. N'étant pas de taille à se battre devant des garçon qui le surplombait de plus d'une tête, qui faisait deux fois sa largeur, il avait appris à paraitre invisible aux yeux des autres, c'était la seule manière de rester tranquille, et de s'en sortir sans égratignure. Non il n'était pas lâche, ce n'est clairement pas un de ses traits de caractère, il est seulement avide de liberté, lucide sur sa propre fragilité, et il aime plus que tout la vie. Il aurait aimé être un enfant comme les autres, mais il ne l'était pas, et que ça soit à 6, ou à 10 ans, les coups de poing prime encore sur les mots, et il savait qu'il n'aurait aucune chance de s'en tirer avec de belles phrases. Alors il se recroquevilla dans un monde, ou personne ne viendrait l'embêter. Il n'avait pas d'ami imaginaire, non, il n'en avait pas besoin, et il était un rêveur trop lucide pour en avoir un. Mais il passait ses journées à admirer le monde qui l'entourait, un monde dont il était exclu. Il inventait des histoires abracadabrante sur toutes les personnes qu'il croisait. Il rêvait à longueur de temps, et ça lui suffisait. Il était un rêveur né, un futur artiste, qui n'a jamais accroché avec l'école.

Chapter Two : "Et si la vie n'était qu'une succession de photographie..."

4 Aout 2001

"Voici venu le temps des rires et des chants
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis"

C'est ce dont tout le monde rêve, c'est ce qui n'existera jamais, et tout le monde ne le sait que trop bien, mais il n'empêche que certain jour, à certain moment "le temps des rires et des chants" ne semble pas si loin que ça. Surtout lorsqu'on s'appelle Camron Anderson, qu'on est un rêveur né, et qu'aujourd'hui on a 12 ans. Il c'était réveillé ce matin dans sa maison de vacances en Louisiane, le soleil ne pouvait qu'être bénéfique pour cette enfant né trop tôt. Il avait contemplé le soleil brillant au beau milieu de cette immensité bleu. Après l'habituelle "Happy Birthday" de ses parents, qui célébrait ce jour comme un cadeau du ciel, ils l'emmenèrent sur la plage qu'il aimait tant ou on pouvait voir un bon nombre des petits ilots qui formaient la pointe de la Louisiane . Cet enfant qui n'avait faillit ne jamais vivre avait un ans de plus, et ce portait bien, ce jour était sans aucun doute le plus important de l'année pour la famille Anderson. Après avoir contempler la mer de la plage, ils étaient tous de retour à midi dans leur maison, pour un délicieux repas d'anniversaire. Voici venu le temps du dessert, le moment favoris de Camron bien entendu, qui appréciait toujours les gâteaux méticuleusement cuisiner par sa mère, et puis il ne savait que trop bien que le gâteaux était toujours suivit des cadeaux.Élie arriva avec le gâteaux dans ses bras, tandis qu'Adam la suivait un pile de cadeaux entre ses mains. sa mère posa doucement le cadeaux sur la table, avant d'embrasser son fils et de lui souffler à l'oreille :

" Souffle ..."

Il fit exactement ce qu'elle lui disait, et souffla de toutes ses forces sur les bougies, de manière à ce qu'elle s'éteigne tous d'un coup, son père qui avait posé les cadeaux sur la table prenait des photos de l'heureux évènement. Ensuite sa mère attrapa un cadeau, ni trop grand ni trop petit, bien rectangle, il était impossible de devinez ce que c'était. Camron qui avait toujours aimé deviner les cadeaux à l'avance , chercha un instant :

" Une pile de livre ? Une boite en fer ? Une maquette d'avion ? demanda-t-il sans vraiment croire que c'était ça...
" Chuut... Et ouvre" Répondit gentiment Élie.

Encore une fois suivant les indications de sa mère, il commença à ouvrir le paquet cadeaux. Il ne faisait pas particulièrement attention au paquet, il s'en fichait bien d'ailleurs de ce beau papier cadeau, ce qui l'intéressait le plus c'était ce qu'il y avait à l'intérieur. Une fois le papier totalement enlevé, il découvrit avec joie... un appareil photo. Certes c'était les débuts du numérique, mais ses parents venait de lui offrir un magnifique appareil photo, avec un superbe objectif, à pellicule. Peu importait que ça ne soit pas la toute nouvelle technologie, il était magnifique. Ces yeux bleu trop souvent morne se mirent à étinceler comme jamais. Il attrapa vivement l'appareil, et le plaça devant lui pour prendre une photo, il dit à ses parents :

"Souriez, vous êtes photographier."

Ce fut la première photo qu'il prit, et depuis ce jour il ne lâcha plus l'appareil tant aimé. Certes au fil des années il en eut d'autre, mais toujours il garda près de lui son premier appareil photo. Celui avec lequel il avait appris à faire des photos cadré, celui à travers lequel il avait regarder le monde pendant tant d'heure. [/font]

[font=Times New Roman]

conclusion :

Et enfin, pour conclure.

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Spoiler:

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Welcommeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ^^